Après la moisson, à l'époque où elle se faisait encore à la main ou avec des machines assez primaires, il restait souvent dans les champs des épis mal fauchés ou couchés par les intempéries.
Ceux-ci faisaient le bonheur des glaneurs et glaneuses, souvent des personnes de peu de moyens, qui ramassaient ces grains oubliés pour améliorer leur ordinaire.
Glaneuses de Léon Augustin Lhermitte |
Bonne réception, Roland!
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