Voici la deuxième enveloppe que m'adresse cette nouvelle correspondante, mail-artiste débutante mais qui aime écrire.
Bien sûr, Marie-Joëlle ne pouvait pas le deviner mais j'ai la Saint-Valentin en horreur, avec tout son déballage commercial, tous ces coeurs dégoulinants d'amour (de plus ou moins bon goût), et venues du bout du monde ces fleurs (roses principalement) qu'on offre alors que c'est une vraie aberration écologique.
Pour moi, lorsqu'on a la chance d'avoir un amoureux qui fait partie de sa vie, c'est à de tendres gestes, à des mots doux, et par une grande bienveillance mutuelle, qu'on prouve tous les jours son affection à l'être aimé : ce sont là des petits cadeaux merveilleux de tendresse et d'attention, qui valent tous les "cadeaux de la Saint-Valentin".
Pardon pour ma franchise (défaut ou qualité, c'est selon) : tu ne pouvais pas savoir ce que cette fête provoquait en moi, et non plus deviner que je préfère, et de très très loin, l'affranchissement de l'art postal avec de vrais timbres pour illustrer un sujet, plutôt que les vignettes dépourvues de tout charme.
Merci Marie-Joëlle, pour cet envoi et pour cette longue lettre où tu m'indiques que tu as un alias "Ginette", cela c'est plutôt rigolo. Par contre, tu vas devoir attendre quelque temps ma réponse, car en ce moment je tricote à fond pour un projet collectif laineux avec Tony Mazzochin.
1 commentaire:
L' un n'empêche peut-être pas l'autre! (L'amoureux attentionné et la fête le 14 )
Rêver de "la brouette à deux roues", c'est amusant!
Miss Yves
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