Faucher sous les rayons ardents du soleil de juillet, respirer la poussière accumulée
sur les épis, c'est exténuant pour le moissonneur.
Après son frugal repas, quoi de mieux alors qu'un petit roupillon à l'ombre des "paillets" !
sur les épis, c'est exténuant pour le moissonneur.
Après son frugal repas, quoi de mieux alors qu'un petit roupillon à l'ombre des "paillets" !
Mais le temps presse, le blé est mûr à point : il ne faut pas prendre de risque vis à vis de cette récolte prometteuse, à cause d'une grosse pluie d'orage par exemple.
Allez, moissonneur, réveilles-toi , il est temps de reprendre ta faux pour continuer ta belle ouvrage !
Le réveil du faucheur, par Léon Augustin Lhermitte (1844-1925) Je t'en souhaite bonne réception, Roland. |
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