C'est sur un air guilleret, en pleine contradiction avec le sujet du deuil, qu'en grande pompe Brassens nous fait revivre les rites d'autrefois autour des enterrements. C'est encore une manière pour lui d'évoquer la mort, comme s'il voulait exorciser sa crainte de mourir, sans avoir eu le temps de se réaliser pleinement.
Copie d'une estampe de Félix Vallotton du Centre Pompidou :
"L'enterrement" 1891
Vidéo de la chanson Les funérailles d'antan chantée par Georges Brassens,
publiée sur Youtube par Daniel Nunez Escobar
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