Pour terminer en beauté et en poésie ce carnet à 4 mains sur le thème de la mer, quoi de mieux que ces chères baleines qui ne sont jamais aussi passionnantes que dans leur milieu naturel...si on voulait bien les y laisser tranquilles.
Avec toutes les turbulences dans le milieu marin induites par le changement climatique, avec la chasse à la baleine encore pratiquée, hélas, par quelques pays attachés à des traditions rétrogrades, avec maintenant les embarcations chargées de touristes comme à La Réunion, qui s'en approchent beaucoup trop, gènant leurs déplacements et leurs communications, les baleines n'ont pas fini d'être perturbées par les activités humaines.
Il me restait quelques découpes du tissu qui m'avait servi à exprimer toute ma solidarité avec l'action de Sea Sheperd et du Capitaine Paul Watson l'an passé, pour composer cette dernière double page à laquelle j'associe à une poésie de Jacques Prévert, ajoutée sur feuillet libre.Voilà, chère Gisèle, je te souhaite bonne réception de ce carnet qui m'est revenu après quatre années, ce qui fait vraiment beaucoup. Comme beaucoup d'autres de mes correspondants depuis la crise du Covid, tu pratiques maintenant d'autres loisirs, dont l'art postal n'en fait plus partie.
Alors, ne m'en veux pas, mais comme je ne souhaite ne pas continuer à t'encombrer avec tout cela, j'ai choisi de terminer ce carnet à quatre mains en un seul voyage vers toi . Ansi il te restera comme prévu, comme le dernier beau souvenir des échanges plutôt sympas que nous avons eus ensemble.
J'espère qu'il te parviendra sans encombre et sans trop de délai, car la distribution du courrier en août n'est pas toujours très fluide.
Avec toute mon amitié, je te souhaite une bonne route vers d'autres horizons et une belle continuation.

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