En 2025, la France, deuxième plus grand territoire maritime au monde, célèbre l'Année de la Mer, une initiative nationale visant à éveiller les consciences face à l'urgence de protéger l'Océan.
C'est le thème que j'ai choisi de développer pour illustrer mes cartes de voeux.
L'orque peut être observée dans toutes les mers du monde, que les eaux soient chaudes ou froides. En Polynésie par exemple, et notamment aux Marquises, elles sont connues pour se nourrir de raies manta. Ce sont toutefois dans les eaux froides que les populations d'orques sont les plus nombreuses.
Est-ce qu'un orque est dangereux pour l'homme? Bien que les orques soient l'un des prédateurs les plus dangereux de l'océan, elles ne représentent généralement aucune menace pour l'être humain. Il n'existe aucun cas documenté d'orque ayant intentionnellement blessé un être humain à l'état sauvage.
Pourquoi les orques attaquent des bateaux dans le détroit de Gibraltar? Depuis 2020, l’augmentation des attaques d’orques visant des bateaux dans le détroit de Gibraltar suscite l’inquiétude et l’intérêt des scientifiques. Elles devenaient si régulières que des scientifiques ont décidé de se pencher dessus. Depuis 2020, les attaques d’orques contre des yachts ou des voiliers se sont multipliées dans le détroit de Gibraltar. Un phénomène inexpliqué jusqu’ici par les spécialistes.
L’abondance de nourriture en cause :
Selon les spécialistes, les orques sont connues pour développer des comportements temporaires. C’est le cas d’un groupe de cétacés du nord-ouest du Pacifique qui a été observé en train de jouer avec des marsouins jusqu’à les tuer, sans jamais les manger. En 1987, dans la même zone, ils avaient été repérés pour avoir porté des saumons morts sur leurs têtes.
« Certaines populations d’orques peuvent développer des modes comportementales inhabituelles et temporaires et d’autres idiosyncrasies [ou caractères individuels] qui ne semblent pas servir un objectif d’adaptation évident », peut-on lire dans le rapport.
L’autre raison, selon les spécialistes, c’est l’abondance de nourriture, notamment de thon rouge, dans la péninsule ibérique. Avec le réchauffement climatique, cette espèce se trouve désormais en quantité abondante dans les eaux du sud de l’Europe. Conséquence, les orques passent moins de temps à chercher de la nourriture et plus de temps à « jouer », estiment les scientifiques.
« Le comportement présente des points communs avec les tendances observées ailleurs et semble associé au jeu ou à la socialisation, peut-être encouragé par l’augmentation récente de l’abondance et de la disponibilité des proies – réduisant le temps nécessaire à la recherche de nourriture – et par la réduction des interactions négatives avec les pêcheries », peut-on lire sur le rapport.
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