22 janvier 2025

En savoir davantage sur Alain Souchon, de Vincent

Je suis très gâtée aujourd'hui avec ce nouvel envoi de Vincent : c'est la photographie d'un Alain Souchon jeune, probablement extraite d'une scène de film (dans "Je vous aime" de Claude Berri sorti en 1980, peut-être) mais le journal qui l'a publiée ne le précise pas. 

Photo d'Alain Souchon prise par Micheline Pelletier-Lattes qu'elle commente ainsi : "C'est Buster Keaton qui voudrait être Groucho Marx"

En cherchant bien, sur Internet,  j'ai retrouvé la coupure de presse extraite du Paris-Match n°1672 du 16 juin 1981, avec les deux pages (photo + article) consacrées à Alain Souchon, dans la rubrique "Mes gens" de Philippe Bouvard, ainsi intitulée : "Les transports aériens et les déchets nucléaires gâchent le bonheur d'Alain Souchon". 

Mon correspondant commence à bien connaître mes goûts musicaux et/ou à lire mon blog où j'ai raconté récemment le dernier concert où je suis allée voir et écouter Alain Souchon et ses deux fils chanter au Casino de Paris.

C'est l'un des artistes que je préfère, il fait partie de mon paysage musical depuis au moins quarante ans. Mal dans sa peau, il s'est longtemps cherché ; son succès est arrivé tardivement  mais ne l'a pas changé, il n'a jamais pris la grosse tête. Je l'apprécie infiniment comme chanteur évidemment, mais j'aime globalement l'homme qu'il est dans la vie, et j'en ai eu encore une belle illustration lorsque je l'ai vu sur scène, en novembre dernier dans un trio familial,  si chaleureux et si complice. 

Merci beaucoup Vincent pour ce mail-art, tu as encore une fois tapé dans le mille avec cet envoi si bien ciblé. 
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Alain Souchon en 2024 dans Gala / photo BESTIMAGE COADIC GUIREC

Si vous voulez mieux connaître le parcours d'Alain Souchon,  je vous mets à disposition quelques belles interviews que j'ai dénichées sur France Culture :

I - dans l'émission "les voyages musicaux",  une série produite par les  radios francophones publiques par Jérôme Labrecque et Robert Charlebois.  Voici "Alain Souchon, il chante un baiser".   

En février 2007, Alain Souchon a ouvert les portes de son univers au documentariste Jérôme Labrecque lors de quatre sessions d'enregistrement, chacune de trois heures. Ces moments intimes ont eu lieu dans des lieux emblématiques de la musique et de l’histoire parisienne : à l'Olympia, au studio d'enregistrement Davout, au Casino de Paris et à l'hôtel Regina, à Paris. Durant ces séances, Souchon se livre sans réserve, partageant joies et peines, succès et échecs, offrant ainsi un portrait authentique et poignant.

Alain Souchon se raconte ici seul, dévoilant des moments choisis de sa vie et de sa carrière. Il y évoque ses chansons, leur écriture et leur création avec élégance et simplicité et toujours le vocabulaire qui fait mouche.

Ce récit d'Alain Souchon est enrichi de paysages sonores et d'archives qui viennent en écho ou en contraste, créant une véritable expérience de cinéma pour l'oreille. Voici donc une série radiophonique comme une invitation à découvrir ou redécouvrir l’âme et la voix d’un artiste qui structure l'histoire de la chanson française.

1/8 - Ca prend au début
2/8 - Content d'être bidon
3/8 - Rien que du bonheur
4/8 - Cinéma, cinéma
5/8 - Chanson, je thème
6/8 - Engagé... sans en avoir l'air
7/8 - D'une nouvelle vague... à l'autre 
8/8 - De tout et de rien

9- Best off : Tout Souchon  

II - Dans l'émission A voix nue, Maylis Besserie lui consacre cinq podcasts,  en décembre 2016.

Je vous souhaite de passer un bon moment en compagnie de celui qui a et aura toujours 10 ans!

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